Les financements (moins d’un tiers de ce qui avait été annoncé), censés être des dons, prennent trop souvent la forme de prêts. Résultat: les pays en développement remboursent désormais davantage aux pays riches qu’ils ne reçoivent en prêts climatiques — pour 5 dollars perçus, 7 sont remboursés — transformant l’aide climatique en piège de dette.